AFRIRSUTE
										Au paroxysme de l’ingérence sociale
										Où seuls subsistent les rêves de révolte
										Machinalement on use des médisances 
										comme d’une arme
										On s’évertue à rejeter 
										sur autrui les fautes
										À nos efforts de longue haleine
										À ceux qui au nom de la liberté 
										ont passés l’arme à gauche
										Qui auraient aimés voir le système 
										crever sous leurs mirettes
										Et tout ce que les grands 
										de ce monde causent
										Nuage atomique au dessus de nos têtes
										Un regard furtif par nos fenêtres
										Capitalisme instable
										Tu redoutes l’infamie
										Les failles défaillent la faïence a jaunit
										L’énergie à bord t’asphyxie
										Un jour on le sait il sera trop tard
										À nous de voir !
										Sommes-nous maitres de nos cœurs 
										ou esclaves de nos égos ? 
										Sommes-nous nous égaux face à l’espoir 
										face aux obscurs Vadé rétros ? nan !
										Pas de rétro quand tu traces nan !
										Pas d’intro dans tes phrases
										Mais juste un peu d’impro dans tes pas
										Avalons les kilomètres, 
										allons chercher la liberté.
										Changeons les paramètres, 
										nous avons soif de vérité.
										Elle réside aux creux de nos mains, 
										aux creux de nos cœurs, 
										aux grés de nos idées.
										Peu importe ce que les décideurs ont décidés.
									
